JOELLANNE

Trouver sa juste place dans notre univers...!

Samedi 17 mars 2012 à 11:01


                                 
                                              Joëllanne
est le pseudonyme qui m'a fait connaître depuis de très nombreuses années commme Tarologue.
                                                         Dans ce bhttp://joellanne.cowblog.fr/images/maphoto.jpglog, je me propose de vous initier à la pratique du Tarot de Marseille et de découvrir, article après article, quel extraordinaire outil il devient dans notre recherche de nous-mêmes, de ce qui nous motive et nous fait agir dans notre petit univers personnel, avec des conséquences multidimensionnelles qui vont -ou non- dans le sens de nos aspirations profondes.   
                                
                La première fois que l’on pratique soi-même le Tarot de Marseille, après avoir –par exemple- lu un livre ou acheté un jeu, il se passe toujours quelque chose. Il n’est pas rare qu’on ait l’esprit bousculé, voire dérangé, par cette rencontre. L’imagerie naïve des lames –Il faut dire lame et non carte- avec ses personnages que l’on croirait tirés des enluminures du moyen-âge, ses couleurs primaires, le graphisme désuet des titres et de sa numérotation… Tout semble crée pour vous impressionner. Certaines lames surtout, vous troubleront plus particulièrement : un diable doublement sexué, qui enchaîne deux enfants... un squelette armé d’une faux,... une tour qui semble s'écrouler entraînant deux personnages dans sa chute…. Il y a –semble-t-il- une certaine violence qui se dégage de son imagerie et assurément la première réaction que l’on peut avoir en le touchant et en l’étalant devant soi va être primordiale :
Certains vont le rejeter, incapables d’affronter l’énergie qui s’en dégage ; d’autres vont l’aborder avec circonspection, cherchant d’instinct à «composer»  avec lui, un peu comme l’attitude prudente que l’on adopte envers une personne avec qui on n’a pas, d’emblée, d’atomes crochus.
Cette rencontre plus ou moins difficile avec le tarot, et le fait qu’il vous interpelle profondément prouvent à quel point il est une construction vivante. Le consulter, c’est entrer en contact avec soi-même, c’est se regarder dans un miroir et y découvrir l’image authentique de son individualité. Transiger avec le tarot de Marseille est impossible. Vous aurez beau vous présenter à lui sous votre meilleur profil, l’image qu’il vous renverra sera sans concession, révélant en pleine lumière et vos points forts et vos aspects fragiles. 

                     
Etes-vous prêts à aller à sa découverte en ma compagnie ?
             Alors  rendez-vous page suivante  -1- Relation entre Univers tangible et intangible !
 
 

                
 
                                                          

Mardi 20 mars 2012 à 10:53

Etymologiquement le mot tangible vient du latin « tangerer » c’est à dire toucher. Ce qui est  tangible tombe donc sous le sens du tact. On peut le connaître en le touchant. Précédé du préfixe privatif « in » tangible devient son contraire, intangible : qu’on ne peut connaître en touchant
                           Nous sommes tous reliés de l’univers intangible à l’univers tangible par un lien subtil. Entre nos différents modes de fonctionnement -pensées – émotions- paroles et actions- existe une synergie particulièrement vive, dont il importe de comprendre la portée. A tout instant notre cerveau reçoit des informations conscientes ou non du monde physique et matériel -donc tangible- qui lui parviennent par le biais de nos cinq sens : la vue, l’ouie, le goût, l’odorat et le toucher. Ces informations sont ensuite codifiées au niveau du mental, stockées dans notre mémoire ou utilisées immédiatement.
En parallèle et de manière plus subtile, nous possédons un sixième sens celui de l’intuition, qui siège dans le subconscient de notre esprit. En utilisant, d’une part les données captées par nos sens physiques et d’autre part celles qui font partie de l’inconscient collectif (qui nous relie aux autres), notre intuition va de façon empirique (c’est à dire en dehors de tout raisonnement) influencer psychiquement (en utilisant nos émotions) nos différents modes de fonctionnement, établissant une sorte de pont reliant notre être spirituel à notre être physique dans l’univers matériel qui nous entoure.
Si nous remontons plus haut dans l’échelle métaphysique de notre réalité d’être vivant, il existe un septième sens, celui de l’inconscient collectif. Il nous connecte les uns aux autres, mais nous relie également par le huitième sens, aux mondes animal, végétal, et minéral qui font partie fondamentalement de notre univers. C’est un réseau d’informations transcendantales (c’est à dire qui s’élève au-delà de ce qui est perceptible à notre conscience, et par-là même, intangibles) auquel notre subconscient individuel est assimilé, comme l’infime partie d’une énergie interactive, le neuvième sens, qui se fondrait dans le principe divin. Notre subconscient, comme l’une des cellules composant le tissu de cette énergie interactive, possède donc la connaissance et par conséquent l’expérience de celui-ci. Les informations qu’il nous transmet sont donc essentielles à ce qui anime nos différents modes de fonctionnement.
Ne dit-on pas « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas » ? Ce qui signifie que nos émotions, véhiculant notre intuition, nous dévoilent son présage contre toute raison, laquelle -s’appuyant logiquement sur les informations incomplètes de nos cinq sens- n’en a pas immédiatement conscience et par conséquent peut en réfuter la réalité, si notre esprit est par trop cartésien.
En acceptant ce concept de l’incarnation de l’esprit dans la matière, il devient facile de comprendre que, sans l’appui des présages de notre intuition, il nous est impossible de fonctionner correctement. Encore faut-il savoir comment la solliciter et surtout empêcher qu’un excès d’émotions interfère entre elle et notre logique, base de toute action.
Notre raisonnement n’est jamais en cause dans une mauvaise décision, dans le sens qu’il tente d’établir logiquement ce qui est juste, bon, favorable ou néfaste, au moment d’agir. Notre raison agit comme une balance au sein de notre esprit conscient, jugeant les informations qui lui viennent du monde tangible par rapport à des principes conventionnellement corrects. Si notre esprit conscient prend pour habitude d’accepter comme réelles, les informations de l’inconscient collectif transmises par notre intuition, notre raison n’y trouvera plus rien à redire. En effet, elle analysera la situation en tenant compte de la valeur  «du facteur encore inconnu» que lui dicte l’intuition et l’intégrera comme élément concret. Il est significatif que l’intuition s’appuie parfois sur l’émotionnel pour nous forcer à agir précipitamment, dans l’urgence d’une situation et passant outre à toute logique.
 Prenons un exemple significatif :
 « Une personne est poussée par une forte impulsion à «manquer» son avion, alors que les compagnies sont surbookées et que la veille, elle avait du faire le forcing pour obtenir son billet… En manquant son vol, elle échappe à la mort dans l’écrasement de son avion. »
Comment expliquer son acte totalement irrationnel, sinon par le fait que son intuition -via l’inconscient collectif- l’a avertie que son avion allait s’écraser ? Que l’aspect émotionnel de cette impulsion se soit exprimé à travers l’un de ses cinq sens - comme un besoin urgent d’aller aux toilettes à la dernière minute, une envie subite d’entendre la voix de son conjoint au téléphone avant de s’embarquer, ou encore celle de s’arrêter un instant pour contempler les fleurs de son jardin avant de partir- importe peu. L’essentiel est que cette personne, ne pouvant clairement décoder le message de son intuition, se soit suffisamment attardée pour manquer son avion et ainsi préserver sa vie.
Il faut donc maintenir un juste équilibre entre notre état émotionnel et notre état rationnel pour que notre intuition se manifeste dans toute son acuité. Quand notre état d’esprit est serein, -quand il ne se laisse pas envahir par la crainte ou qu’il n’est pas dominé par une émotion violente, liée à une quelconque frustration qui nous rend avide- nous agissons dans le sens de notre intérêt en ayant tenu compte d’absolument toutes les données de la situation, issues de nos sept sensSi nous pensons juste, nous agissons juste et les éléments extérieurs se mettent en place, dans le temps et dans l’espace, pour que notre projet, nos attentes, nos espoirs se réalisent.
Ce principe est une réaction en chaîne de cause à effet. Il est impulsé au point de départ, par un désir (activement soutenu par notre volonté) de réalisation. Pour que les circonstances soient favorables à nos projets, il faut que notre intuition nous ait informés des moyens idéaux pour aboutir. Il y aura blocage si les circonstances extérieures à notre désir ne sont pas propices, notre subconscient nous le susurrera d’ailleurs à l’oreille, ce qui nous préservera de toute émotion réactive qui le retarderait encore plus. Le mieux, en toute circonstance, est de « laisser vivre » pour que le meilleur de la vie nous advienne. La pratique du tarot de Marseille, en donnant des tirages qui tiennent compte des éléments tangibles et intangibles d’une situation, active notre subconscient et nous délivre des informations complètes. C’est un bon apprentissage de l’utilisation spontanée de notre intuition.
 
                         A présent que ces notions d'Univers abstrait et concret vous sont plus claires, je vous invite à  passer à la page suivante et découvrir la Loi de Causalité, qui n'est rien d'autre que la notion de cause à effet entre pensées, paroles, actions et leurs conséquences...



Mardi 20 mars 2012 à 11:30

http://joellanne.cowblog.fr/images/causeaeffets.jpg  Quels que soient les éléments qui commandent notre vie au quotidien, ils s'expriment dans le fond et la forme des choses dans une Loi de causalité.
                            Ces deux aspects de la cause et de l’effet sont indissociables car ils résultent : d’une part, de notre personnalité et de notre mental et d’autre part, des circonstances extérieures qui déclenchent nos émotions, nous amenant à être proactifs (à maîtriser la situation) ou réactifs (à subir celle-ci), selon ce que ce nous que désirons ou craignons profondément.
 Il importe donc avant d’agir, de bien définir l’ensemble des éléments qui régissent notre état d’esprit, au sein d’une même situation :
 

              1-     La réalité de nos désirs et notre volonté de les réaliser,
2-    Nos appréhensions, et les inhibitions qui nous empêchent d’agir. Ou tout au contraire une confiance surévaluée qui conduirait à un résultat identique.
3-    La perception des circonstances extérieures, qu’elles nous soient ou non favorables.
                                 
                                     Il est important de souligner que le fond commande toujours à la forme des choses et dans toutes les situations. Cela revient à dire et surtout à comprendre que… dès l’instant où nous sommes à l’écoute de notre moi profond (en accord avec nous-mêmes dans la réalité de ce que nous voulons ou refusons de vivre) nos émotions rationnellement positives entraînent des actions judicieuses qui, invariablement, vont produire des circonstances favorables à nos desseins.
Etre à l’écoute de notre moi profond, c’est savoir utiliser à bon escient notre intuition, de manière à contrôler des émotions excessives afin qu’elles ne prennent pas le gouvernement de notre vie, (nous faisant sous-estimer ou surestimer une situation) au point de nous entraîner dans des actions qui iront à l’encontre de ce que nous désirons. Inutile d’imputer « la faute à pas de chance » quand le résultat de nos attentes n’est pas celui espéré ! Il y a de fortes raisons de penser que c’est un manque de confiance en soi ou au contraire une surévaluation de notre potentiel qui a induit ce mauvais résultat. En tout état de cause, c’est cet aspect excessif de nos émotions qui, dans un enchaînement de cause à effet, a produit une résultante contraire à nos objectifs.
« On récolte ce qu’on sème » dit un dicton populaire pour souligner la loi de cause à effet. Rien n’est plus vrai ! Penser justement, c’est agir sûrement... Aussi prenons garde à ce que nous pensons, car c’est déjà au niveau de l’esprit que nous orientons les actions de notre vie et construisons notre avenir. Evitons donc d’utiliser des formules du genre « Je ne peux pas… il m’est impossible de… çà ne marchera jamais… » Envisager une situation de manière pessimiste, c’est donner corps et matière à des circonstances environnantes et un résultat négatifs... Cela témoigne d’un instinct réactif au lieu d’une intuition proactive. Dans une situation conflictuelle, face à un problème sérieux, le mieux est d’appréhender les choses avec un certain recul, de ne rien décider précipitamment sous le coup de l’émotion, afin de permettre à notre intuition de nous guider pour agir au mieux de nos intérêts. « Facile à dire... plus difficile à faire ! » Notez combien ce genre de réflexion instinctive est en soi défaitiste qui prévoit les obstacles plutôt que d’entrevoir les moyens d’une action.
La crainte et le doute, face à l’obstacle, dressent des murailles plus ou moins hautes entre nos désirs et leur réalisation. Au mieux, la peur va provoquer des retards en chaîne dans le bon déroulement de nos projets et au pire nous installer dans l’échec. « Il n’y a pas de problèmes, il n’y a que des solutions » dit un autre adage... Le fait est que les difficultés nous obligent à réfléchir, à nous mesurer à l’adversité dans le but de nous dépasser et de progresser. Néanmoins nous ne sommes pas obligés d’affronter les challenges, les défis ou les épreuves de la vie dans les pires conditions. La résolution des problèmes existe –croyez le bien- au niveau de l’inconscient collectif auquel nous sommes connectés par le biais de notre intuition. Si l’on vous offre une boite complète d’outils, vous utilisez d’abord ceux dont vous connaissez le fonctionnement et peu à peu vous apprenez à manier ceux qui ont été créés pour vous faciliter la tâche... C’est pareil pour l’intuition, apprenez à faire confiance à cette vibration qui vous interpelle à votre corps défendant mais à votre cœur consentant !
Dans un tout autre ordre d’idée, l’auto satisfaction, la surestimation de notre ego, ainsi que l’impatience amènent au même résultat que la crainte. Ces émotions faussent notre jugement au moment de l’action et nous empêchent de percevoir les mises en garde de notre inconscient.
Le tarot de Marseille est une merveilleuse boite à outils qui va vous permettre de mener à bien toutes les réalisations de votre vie. Son utilisation va peu à peu développer les fonctions de votre subconscient, et stimuler les connections de votre être spirituel à votre être physique, canalisant et amplifiant ainsi vos énergies vers une meilleure connaissance de vous-même, des autres, et de l’univers qui vous entoure.

Mardi 20 mars 2012 à 12:27

                                                                          
                                   http://joellanne.cowblog.fr/images/lesmysteresdelascience.jpg                                                            
            
        Depuis la nuit des temps les hommes ont essayé de comprendre, à travers la religion et la science, le «pourquoi et le comment» du fonctionnement de l’univers. Dans le processus de notre évolution, c’est la religion, -par ses révélations  issues de l’intangible- qui a inspiré les échelles de valeurs qui ont conditionné le comportement humain aux fins de le socialiser et le faire progresser.     
                      Quelles que furent les religions d’un bout à l’autre de la planète, elles ont toutes révélé l’existence d’une énergie supérieure d’où étaient issues toutes les formes de la création. Que cette force tutélaire fut symbolisée par plusieurs entités, incarnant les forces du bien ou du mal, jusqu’à devenir une unique représentation divine, importe peu. Ce qui est capital par contre, c’est la notion, que les hommes ont toujours eue, d’être intimement partagés entre deux mondes : celui dans lequel ils naissaient, vivaient et mourraient, et un autre plus subtil que leur imagination ( suivant en cela leur intuition) situait aux frontières (au ciel…) de ce qui leur était perceptible.
 
De tous temps, et dans chaque société il y eut des associations secrètes -des pythies de l’antiquité, en passant par les ordres templiers, jusqu’aux ordres maçonniques ou rosicruciens contemporains- qui indépendamment des milieux religieux et politiques, ont fait en sorte de transmettre certaines vérités qui échappaient à l’entendement commun et ne pouvaient être vérifiés par une science balbutiante et particulièrement rébarbative. Ce sont ces courants ésotériques qui, dans le plus grand secret et dans une initiation de maîtres à disciples, ont fait avancer l’humanité.
 Pour protéger leurs révélations et mettre hors de portée une réalité qui aurait pu heurter et affecter dangereusement des êtres non éclairés, ces ordres secrets codaient leurs révélations à travers des systèmes de représentations symboliques (Yi-Ching, astrologie, alchimie, kabbale, tarot etc…) qui tenaient, bien avant l’ère des lumières, au cosmos, à la nature humaine, aux forces surnaturelles… des données particulièrement explosives si elles étaient tombées aux mains des instances politiques ou religieuses en place. Néanmoins, les premiers, ils ont révélé les moyens de communication entre univers tangible et intangible et fédéré une connaissance qui aurait mit une éternité avant d’être transmise à l’ensemble de l’humanité.
                            
                          
  A présent que vous vous êtes familiarisés avec ce qui relie le monde tangible de l'univers intangible... avec la notion de cause à effet entre vos pensées, vos paroles, vos actions et leurs conséquences... Vous être prêts à découvrir la construction vivante qu'est le Tarot de Marseille,  Rendez-vous avec l'article suivant : -4- Présentation du Tarot de Marseille. 
 
 

Mardi 20 mars 2012 à 12:45

                 
http://joellanne.cowblog.fr/images/Tarot.jpg On ne sait exactement à quelle époque le Tarot de Marseille a été créé ni par qui. On suppose que les plus anciens tarots remontent au début du premier millénaire. Ils n'avaient alors aucun caractère ésotérique et leur utilisation était purement ludique. Il a fallu attendre le 18ème siècle pour qu’ils deviennent un support divinatoire.
                        Nombre de jeux sont dérivés du tarot de Marseille originel. Cela tient à ce que ses utilisateurs, ressentant un certain mal-être à le consulter, se sont «arrangés» avec lui, au point d’en dénaturer le symbolisme abstrait et l’adapter à leur intellect, retranchant ou transformant certains détails comme de nommer la MORT l’arcane XIII, rebaptiser le MAT en l’appelant le FOU, redessiner de manière fantaisiste l’imagerie de chaque lame, etc… Transformer le tarot, à quelque niveau que ce soit, revient à le mutiler et se priver de l’énergique enseignement qu’il dégage.
Le tarot de Marseille n’est pas un support divinatoire, c’est bien plus que cela ! C’est un moyen totalement objectif d’appréhender l’univers, à travers notre propre réalité dans ses aspects tangibles et intangibles. L’étude du tarot n’est pas un acte anodin dans la vie du pratiquant. Elle va le projeter au-delà de son entendement habituel, dans une sphère qui touche aux sciences les plus avancées. Appréhender ce qui tient à l’irrationnel de manière objective -c’est à dire sur des bases qui ne s’appuient pas sur une échelle de valeurs personnelles ou conventionnelles- demande une méthode logique et cohérente. L’esprit humain est ainsi fait, qu’il a besoin de preuves pour authentifier ce qui, sans cela, lui apparaîtrait abstrait, irréel, en un mot improbable.
 Sous la forme d’un jeu de 78 lames qui se déclinent en séries, à travers des cycles infiniment nombreux et dont chaque élément, agissant en «inter-connection» avec les autres, est indissociable de l’ensemble,    le tarot de Marseille est une méthode qui a fait ses preuves.
Il est composé de 78 rectangles de cartons dont le verso est uniformément neutre de façon à ne pas détourner notre attention au moment du tirage :
·        22 de ses lames forment un ensemble, celui des arcanes majeurs.
Ceux-ci se distinguent par 3 éléments qui occupent l’espace de la lame :Un trait d’1 mm de couleur noire qui encadre une image avec en dehors de la bordure, en haut en cartouche, un nombre écrit en chiffres romains et en bas en bandeau, un nom écrit en lettres majuscules.
      Deux lames font exception à cette règle, l’arcane XIII qui ne porte pas de nom en bandeau et l’arcane symbolisé par le MAT dont le cartouche n’est surmonté d’aucun nombre.
      Les arcanes majeurs révèlent avant tout le fond d’une situation : C’est à dire comment elle se présente et les raisons qui l’ont manifestée.
·        Les 56 lames restantes sont désignées sous le nom d’arcanes mineurs. Elles se partagent en quatre séries ou Couleurs : la famille d’épée, la famille de coupe, celle de deniers ( la seule qui marque un pluriel) et enfin celle de bâton.
      Chaque Couleur comporte une lame sans nom, sans nombre ni bandeau : l’as représentant une épée, une coupe, un bâton ou un denier.
      Suivent 4 lames dans chaque série, représentant un personnage avec son nom : valet, reine, roi et cavalier- placé en bandeau sous l’image, excepté le valet de deniers dont le nom est inscrit verticalement.
       Enfin les lames mineures restantes se dénombrent dans chaque famille dans un ordre croissant de II à X.
       Les arcanes mineurs complètent les arcanes majeurs en indiquant comment se manifestent dans la forme, les effets d’une situation, en fonction des causes qui l’ont motivée. 

                    
Je vous propose à présent dans l'article suivant d'aborder l'étude du Tarot de Marseille.
 

 

 

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